Vivre son corps

MANIFESTE

Derrière chaque corps, il y a une histoire très singulière. Une histoire qui n’est pas liée à une forme, une couleur, un genre, ou une sexualité. Dans un corps, il y a ce que l’on montre et ce que l’on cache. Ce que l’on cache à l’autre mais aussi à soi-même.

La violence des constructions sociales et intimes font de nous, nos propres tortionnaires et nous empêchent de nous montrer au monde tels.les que nous sommes. Elles nous empêchent d’être libre, de ressentir et de vivre nos corps pleinement.

J’ai longtemps pris mon corps comme un objet que je pouvais contrôler, modeler à foison et rapidement il est devenu une vitrine vide. Je me suis déconnectée de lui, J’étais prisonnière d’un corps qui n’avait pas le droit à l’erreur et pour survivre je devais briser mes chaînes.

« La violence des constructions sociales et intimes font de nous, nos propres tortionnaires »

« Pour survivre,  je devais 

briser mes chaînes »

Partir à la découverte de mon corps m’a appris à danser au rythme de ma propre magie. Une magie qui peut se révéler qu’en acceptant de plonger à l’intérieur de soi. J’ai mis la tête la première grâce à la méditation où j’ai découvert que mon corps était la maison de mon âme. Puis je l’ai exploré à travers le yoga flow, un mouvement, libre, décomplexé et bienveillant.

C’est grâce au podcast Shapes que j’ai crée en 2019 et a tous les témoignages recueillis que j’ai pu mettre les mots sur ce que je ressentais. 

Je me suis reconnue en l’autre. Mais il m’a fallut beaucoup de courage et de force pour exprimer à voix haute mes émotions, à en parler à la première personne et à dire qui j’étais. C’est à ce moment là que le cercle de parole m’a permis de trouver la confiance dont j’avais besoin pour ça.

Je vous propose ici de partir à la rencontre de votre corps et de commencer à écrire votre histoire.

« j’ai découvert que mon corps était la maison de mon âme »

MANIFESTE

Derrière chaque corps, il y a une histoire très singulière. Une histoire qui n’est pas liée à une forme, une couleur, un genre, ou une sexualité. Dans un corps, il y a ce que l’on montre et ce que l’on cache. Ce que l’on cache à l’autre mais aussi à soi-même.

La violence des constructions sociales et intimes font de nous, nos propres tortionnaires et nous empêchent de nous montrer au monde tels.les que nous sommes. Elles nous empêchent d’être libre, de ressentir et de vivre nos corps pleinement.

J’ai longtemps pris mon corps comme un objet que je pouvais contrôler, modeler à foison et rapidement il est devenu une vitrine vide. Je me suis déconnectée de lui, J’étais prisonnière d’un corps qui n’avait pas le droit à l’erreur et pour survivre je devais briser mes chaînes.

« La violence des constructions sociales et intimes font de nous, nos propres tortionnaires »

Partir à la découverte de mon corps m’a appris à danser au rythme de ma propre magie. Une magie qui peut se révéler qu’en acceptant de plonger à l’intérieur de soi. J’ai mis la tête la première grâce à la méditation où j’ai découvert que mon corps était la maison de mon âme. Puis je l’ai exploré à travers le yoga flow, un mouvement, libre, décomplexé et bienveillant.

C’est grâce au podcast Shapes que j’ai crée en 2019 et a tous les témoignages recueillis que j’ai pu mettre les mots sur ce que je ressentais. 

« Pour survivre  je devais briser mes chaînes »

Je me suis reconnue en l’autre. Mais il m’a fallut beaucoup de courage et de force pour exprimer à voix haute mes émotions, à en parler à la première personne et à dire qui j’étais. C’est à ce moment là que le cercle de parole m’a permis de trouver la confiance dont j’avais besoin pour ça.

Je vous propose ici de partir à la rencontre de votre corps et de commencer à écrire votre histoire.

« j’ai découvert que mon corps était la maison de mon âme »